C’est difficile de trouver les mots.
Francois et moi étions en sixième la première fois que j’ai rencontré Jean-Claude, il faisait tourner l’atelier du Bolduc; j’avais été marqué par son sérieux, sa minutie, sa passion du travail bien fait. Combien de fois ensuite avons-nous ri quand Jean-Claude ,toujours avec sérieux mais également avec amour et bienveillance , essayait de cadrer certaines initiatives de Francois en lui disant « Alors là, mon p’tit gars je ne te comprends pas ». J’ai découvert plus tard son sens de la fête à Cachan et son sens de l’accueil à Chamonix.
Nous pensons très fort et très affectueusement à Jean-Claude et aussi à Marie-Claude, Catherine, Francois et toute la famille.
La Famille Francois