Emilie MASSART

Message de ton papa le 31 octobre.

Emilie ma grande, oui car malgré ta petite taille tu es toujours et tu resteras ma grande.
Ta maman vient d’exprimer tout ce que tu es pour nous, tu resteras pour nous, une fille, une femme exemplaire, courageuse, attentive aux autres et amoureuse de la vie.

Ces derniers mois et encore plus ces dernières semaines, tu as supporté avec un courage extraordinaire tes souffrances morales et physiques que je ne saurai décrire.
Et malgré tout cela, tu nous accueillais chaque fois avec ton plus beau sourire, tes yeux pétillants le plus souvent malicieux. Combien de fois lorsqu’on était près de toi n’as-tu pas dit :
« Je suis désolée, désolée de vous faire vivre cela »
Emilie c’était ça, elle prenait sur elle pour préserver les autres.

Emilie tu aimais la vie et malgré les épreuves, tu t’es accrochée à cette vie jusqu’au bout.
« La vie est belle, profitez, profitez pour moi » disais-tu encore ces derniers jours…
C’est vrai Emilie la vie est belle, mais elle sera forcément moins belle maintenant que tu n’es plus là…
Mais… je t’entends déjà « je suis désolée papa »
Non Emilie ce n’est pas à toi d’être désolée c’est MOI, c’est nous qui sommes désolés d’être privé de ta présence.

Emilie on t’aimera toujours.

Chère famille,
Je suis de tout coeur avec vous et vous souhaite beaucoup de courage dans cette douloureuse épreuve.
Recevez mes très sincères condoléances.

Très chère famille en deuil, très chère Émilie,

Nous étions une belle équipe, à l’école primaire du centre, à Altkirch. Nous étions amies, partageant notre pupitre, l’une à côté de l’autre. On riait beaucoup, et on se retrouvait tantôt chez l’une, tantôt chez l’autre pour jouer les mercredis après-midi. Tu aimais la nature. Tu étais riche de simplicité et d’authenticité. Tu étais profondément gentille et douce. Quand je vois ta photo je retrouve beaucoup de toi dans notre enfance. Quand on est adulte, on n’oublie jamais qui l’on a été vraiment durant l’enfance, sans filtre.
Je suis heureuse que tu aies eu le bonheur de fonder une famille, d’avoir une fille et que tu aies pu lui transmettre tes valeurs. Ce que tu as semé restera à jamais dans le cœur de ceux qui t’ont aimée et côtoyée. Que ton âme soit en paix. Que tes proches reçoivent paix et consolation de Dieu, que les prières de chacun soient un baume réconfortant pour leur cœur meurtri. Comme tu l’as si bien, tu restes là. Et l’amour qui vous unit tous également et pour toujours.
Fred

Emilie,
Je viens d’apprendre avec une infinie et profonde tristesse ton départ.
La vie est tellement injuste : pourquoi enlever une si belle personne de ce monde qui aurait besoin de plus de femmes comme toi.
La vie a fait que nous nous sommes éloignés mais tu es de ces personnes qu’on ne peut oublier.
Je garde en mémoire ses souvenirs d’enfance à Altkirch, l’école, le catéchisme….ceux qui restent gravés au fond de nos cœurs car c’était le temps de l’insouciance, des relations réelles et non virtuelles, de l’amitié sincère. Tu resteras pour moi la petite fille pétillante et profondément gentille.
J’adresse toutes mes sincères condoléances et pensées à ton mari, ta petite fille, ta famille et tes ami(e)s.
Malgré la douleur, j’espère qu’ils trouveront la force et le courage de traverser cette terrible épreuve.
Blandine

Le pire pour des parents , c’est perdre un enfant et pour l’enfant perdre sa maman . De tout cœur avec vous même si nous nous sommes perdus de vue depuis de nombreuses années années .

C’est avec une immense tristesse que j’apprends le décès d’Emilie. J’ai grandi avec et j’étais à l’école avec elle à Altkirch .
Toutes mes pensées et mes prières sont pour vous 🙏
Même si la vie nous a éloigné je garde un excellent souvenir d’Emilie.
Que le Seigneur vous accompagne dans cette épreuve.
Fred

Je suis profondément attristé par cette terrible nouvelle.
J’ai rencontré Émilie à la paroisse d’Altkirch il y a plus de vingt-cinq ans. Nous avions animé ensemble un groupe de jeunes pendant un an. Elle était discrète sans être timide, déterminée, intelligente, et toujours attentive aux autres.

Le temps nous avait éloignés et je m’étais souvent dit qu’il serait beau de se revoir lorsqu’elle était revenue s’installer à Paris. Je garderai d’elle le souvenir d’une personne lumineuse, d’une rare bonté.

Je vous adresse mes plus sincères condoléances et vous assure de toute ma compassion.