Elisabeth SAUERTEIG

Chère Elisabeth,

Les moments de convivialité que j'ai eu le bonheur de partager avec toi et Karl-Emil ont été beaucoup plus que des rencontres amicales. Ils me permettent aujourd'hui de témoigner de ta bonté profonde, de ton attention généreuse à l'autre, de ta bienveillance naturelle et authentique, de ta joie de vivre souriante, simple et discrète.

Mais tu as su aussi, dans ces moments de partage, mettre en valeur la spiritualité de l'instant, la présence invisible mais intense du Sacré, la force des symboles et le lien intime qui nous unit au Divin.

Je te remercie infiniment pour tous ces bienfaits dont le souvenir ému et chaleureux fécondera longtemps nos consciences.

Puisse ton âme demeurer dans la Paix Profonde !

En grande amitié et sympathie pour Kark-Emil et toute la famille d'Elisabeth !

Alain

Repose en paix belle Elisabeth... tu resteras une personne marquante dans ma vie, par tes valeurs et ton humanité... toutes mes condoléances à la famille. 

En 1985, Élisabeth expliquait : "le costume, c'est d'abord le tissu". Elisabeth c'était d'abord la profondeur et la transparence, profondeur de la personnalité et des convictions au service du théâtre et des interprètes,  transparence des sentiments et de l'amour de la vie au-delà des nombreux tourments qui ont traversé son existence trop courte.
C'est une fierté triste qui nous habite aujourd'hui d'avoir côtoyé pendant 38 ans cette grande dame. 
Repose en paix, chère Élisabeth.
Karl Émile et Lluis soyez de notre soutien affectueux.
André et Geneviève 

Elisabeth,  pour nous tu seras toujours Babeth
Née sous le signe de l'Amour à  " l'Être aime " dans le Nord.
Ton papa " Aimé " y cultivait de merveilleuses roses.
Arrivée fleur parmi les fleurs, tu as continué de nourrir la beauté des choses et des cœurs autour de toi .
Ton jardin c'était le monde.
Femme modeste et magnifique, tu l'as traversé, y a rencontré le meilleur et le pire sans que rien jamais n'éteigne ton sourire.
Tu laisses en moi, en nous cette lumière pétillante et joyeuse qui te définissait.
Je t'aime, on t'aime et on te laisse partir.
Nous nous associons à  la tristesse de Lluïs, Karl Emil, Véro et tous ceux que tu aimais qu'on embrasse très fort.
Zabeth, Jean Yves, Juliette, Lucie, Margot....