Dominique CLAIRET

Comme certainement beaucoup de personnes qui ont eu la chance de te connaître je garde un excellent souvenir de ta joie de vivre, ton rire et de ta sincérité dans tous tes engagements. De tout cœur par la pensée auprès des tiens à qui je souhaite beaucoup de courage.

Témoignages suite au décès de Dominique CLAIRET

"Bonjour Françoise,
C'est avec beaucoup de tristesse que j'apprends le décès de Minou . Nous nous souvenons de ses combats , de son humour et de sa bonne humeur communicative .
Sylvie se joint à moi pour te transmettre toute notre sympathie ainsi qu’à sa famille et à ses proches.
Bien amicalement, Jean-Louis et Sylvie"

Bonjour Jean-Louis,
Merci à toi de nous avoir fait part de la disparition de Minou ( j’ai mis en copie de ce mail Muriel qui l’a bien connue).
J’ai gardé le souvenir d’une femme tellement attachante et très battante. J’aurais aimé pour le moins présenter mes condoléances aux membres de sa famille. Si cela t’est possible, je te remercie de me laisser leurs coordonnées.
Bien à toi Corinne

Bonjour Françoise,
Jean-Louis m’a appris la triste nouvelle de la disparition de Minou. Je ne sais pas si nous nous sommes côtoyées mais je tenais à vous témoigner toute ma sympathie dans cette épreuve et à vous présenter mes sincères condoléances.
J’ai gardé de Minou le souvenir d’une femme très attachante et très joyeuse .
Sa bonne humeur et sa gentillesse donnaient du courage et du sens à nos combats.
Sincèrement à vous
Corinne BROUARD-LAMINE

Bonsoir Jean-Louis, bien triste nouvelle en effet.
Comme toi, je retiendrai de Minou son humour, sa bonne humeur et aujourd’hui encore, son rire particulier raisonne dans ma mémoire. Quelle fille, quelle femme était-ce !
Pour l’anecdote, c'était Minou qui "me briefait" lorsque que j'étais parti en formation durant les années 93/95...
Tiens-moi au courant pour les obsèques.
Amicalement Paul

Je me souviens de la camarade et de son apport toujours pertinent dans les discussions sans compter l’humour, la chaleur et la générosité.
J’ai laissé un message téléphonique à Martine et Claude Sourdeval.
Je ne peux malheureusement pas me rendre aux obsèques.
Pouvez-vous transmettre mes condoléances à sa famille ?
Merci JPB

Ces souvenirs sont très lointains mais témoignent de la marque laissée par Minou. Je me souviens de la militante ouvrière qui avait appris à n’avoir peur de personne, ni des patrons, ni des ennemis du syndicalisme confédéré et indépendant.
En cellule ses interventions étaient toujours pertinentes. Elle nous faisait partager sa formation théorique importante acquise auprès du camarade Daniel Renard, un des dirigeants du groupe Lambert. Je me souviens très bien de la conclusion qu’elle apportait à toute discussion ou intervention portant sur la défense des organisations ouvrières : « et n’oubliez jamais que la raison d’être du syndicalisme c’est en fait la lutte contre les conséquences de la baisse tendancielle du taux de profit ». Un GER en quelques mots.
Elle était également dotée d’une insolence de bon aloi et d’un humour parfois caustique, y compris vis à vis d’elle-même et d’une très grande générosité.
Ces souvenirs ont plus de 20 ans. Les rappeler c’est déjà dresser le portrait de Minou.
JP Barrois

Bonjour Jean-Louis
Je me souviens très bien de Minou que Daniel Renard a convaincue de rejoindre la IVᵉ internationale en 1977 ou 1978.
Dans le local aveugle d’Orly-sud où je travaillais comme secrétaire administratif du syndicat FO, Minou, le sourire aux lèvres, apportait régulièrement son rayon de soleil.
Il nous est arrivé de diffuser ensemble, avec Jean Bousch aussi, alors que les élections municipales se préparaient, et que “l’union de la gauche” rassemblant le PS, le PC et le parti bourgeois des radicaux de gauche avait pour corolaire la division tous azimuts sur le terrain. L’inflation officielle était alors de près de 10% mais les journées d’actions à répétition et sans lendemain, se succédaient, dans la division. C’est que, pour les dirigeants des appareils, il fallait respecter le calendrier de la Vᵉ République. Nous combattions pour un gouvernement PS-PCF sans ministre bourgeois et appelions à l’unité pour les revendications.
Toutes mes condoléances à sa sœur, ses amis.
Fraternellement
Patrick LAZ



Bonjour chers camarades,
Retraitée comme Minou depuis 20 ans, je mesure en vous lisant tous et toutes la solide amitié qui existait entre nous..
Et ca fait chaud au coeur de vous entendre dire de Minou, ses qualités de générosité et de droiture, sans parler de son rire éclatant...
Avec Minou, ma petite sœur, nous partagions les mêmes convictions et les mêmes espoirs de voir s'améliorer la condition des travailleurs...et nous le resterons dans tous les combats que vous menez aujourd’hui !

Merci chers camarades,
Je vous tiens en haute estime,
Merci pour votre fidele amitié
Fraternellement
Francoise Brun

Bonjour.

Triste nouvelle.

Je me souviens de la camarade et de son apport toujours pertinent dans les discussions sans compter l’humour, la chaleur et la générosité .

Je ne peux malheureusement pas me rendre aux obsèques.
Pouvez vous transmettre mes condoléances à sa famille ?

Merci.

JPB

Jean-Louis m’a appris la triste nouvelle de la disparition de Minou. Je ne sais pas si nous nous sommes côtoyées mais je tenais à vous témoigner toute ma sympathie dans cette épreuve et à vous présenter mes sincères condoléances.
J’ai gardé de Minou le souvenir d’une femme très attachante et très joyeuse .
Sa bonne humeur et sa gentillesse donnaient du courage et du sens à nos combats.

Sincèrement à vous.

Corinne Brouard-Lamine